Assiari belle nation! Kutshi grande nation ! Grands et merveilleux sont les plans de DIEU pour toi. Tu n'es pas un choix par défaut. Tu es choisi(e) dès le commencement. DIEU connaît la fin dès le commencement. Il n'est surprit par aucun évènement. Nous discernons les temps. Lui, discerne les cœurs. Il orchestre les circonstances et crée les temps (Daniel 2:21). Quand le diable te dit que tu n'y arriveras pas, dit lui que DIEU savait qu'il le trahira. Dit lui que JÉSUS savait qu'il échouera. Dit lui que l'histoire a déjà prouvé que DIEU a toujours, oui toujours, le dermier mot. Quand il te parle de ton passé, dit lui que ton présent et ton avenir sont en CHRIST. Mais lui, sa fin est connue dès le commencement et pour l'éternité. DIEU n'investi pas pour perdre. Il te perdra pas et il ne perdra pas ce qu'il a investi en toi. Il ne te perdra pas et il ne perdra pas ce qu'il a investi en toi. Tu es béni d'une bénédiction qui ne peut être volée. Oh loue DIEU ton PÈRE ! Oh acclame le SEIGNEUR ton grand frère ! Oh honore ton tuteur le SAINT-ESPRIT! 🙂 Sur ta vie, j'appele l'huile de joie! Avec ton plus beau sourire, danse comme David!
" Coupe l’herbe des champs et, pendant que l’herbe nouvelle pousse, ramasse le foin sur les montagnes. Aie des moutons pour te confectionner des vêtements, des boucs pour pouvoir acheter un champ. Le lait que tes chèvres donnent avec abondance, utilise-le pour te nourrir ainsi que ta famille et tes servantes." (Proverbes 27 : 25 - 27, Français courant)
Pour financer leurs activités, les entreprisent on le choix entre augmenter leur capital, fusionner avec d'autres entreprises, emprunter à des établissement financiers, emprunter à aux associés et émettre des obligations. Une obligation est une valeur mobilière, représentant une part d'une dette. Une entreprise ou un État souhaite emprunter de l'argent. Nous lui prêtons de l'argent en achetant des obligations. En contre partie, l'émetteur versera aux détenteurs des obligations (nous), des coupons chaque année, représentant les intérêts, et remboursera le nominal à l'échéance du titre. Les obligations sont peuvent-être émises par un pays, une collectivité ou une entreprise.
La durée de vie ou maturité d'une obligation peut aller de quelques mois à une durée infinie (obligation perpétuelle). Plus la maturité est longue, plus le risque de non remboursement est important et le taux d’intérêt élevé. Dans le cas des obligations à durée infinie, l'émetteur peut se réserver le droit de rembourser l’obligation à un prix fixé d’avance.
Les différents types d'obligations :
Les obligations d’État ou bons du Trésor (court terme) ou assimilables du Trésor (long terme): émises par un état ou une collectivité (ville, région, département).
Les corporates bond : émises par une société privée ;
Les obligations convertibles : émises par une société privée, peuvent être converties en actions de cette dernière.
Les obligations à taux fixe : les intérêts (coupon) sont à taux constant et la périodicité des versements est prédéfinie.
Exemple d'une obligation, d’un nominal de 1000 euros, avec un taux d’intérêt annuel de 2 %. Le coupon versé chaque année sera de 20 euros (1000*2%).
Les obligations à coupon zéro : pas de versement d’intérêts. Les coupons sont capitalisés et payés, en une seule fois, à l’échéance.
Les obligations à taux variable ou floating rate note : Le taux varie d'une année à une autre et parfois d'un mois à un autre. Le montant du coupon n'est pas connu d'avance. Ces obligations sont indexées sur le marché monétaire, les taux obligataires, le taux d’inflation ou un indice boursier.
Les obligations à coupon révisable : le coupon peut passer de fixe à variable ou l'inverse durant la durée de vie de l'obligation.
Pendant leur durée de vie, les obligations sont cotées en bourse. Les détenteurs peuvent les revendre avant leur échéance ou en acheter d’autres en cours de vie. Les investisseurs peuvent souscrire aux obligation lors de leur émission (le marché primaire) ou les acheter plus tard en bourse (le marché secondaire). Sur le marché secondaire, l'acheteur des obligations paie au vendeur, les coupons courus. C'est la part des intérêts calculée au prorata du nombre de jours entre la date due dernier versement et la veille du jour de vente.
Les agences de notation sont chargées d’évaluer la capacité des émetteurs de dette à faire face à leurs engagements. Les émetteurs les plus stables (économie, social, prévision, etc) sont perçus comme les plus sûrs. Ils ont de très bonnes notes auprès des agences de notation. Ceci leur permettant de payer des coupons (intérêts) bas. Inversement, plus un émetteur est mal noté, plus il est contraint de payer des coupons élevés, à cause du grand risque que prennent les investisseurs. Les notes vont de AAA à D (défaut de paiement).
Plus une obligation est risquée, plus son cours (prix de vente) sera faible. Les obligations sont cotées (bourse) en pourcentage de leur valeur nominale, au pied du coupon (sans le coupon couru).
Exemple
Une obligation qui s’échange à 90 % de son nominal de 1000 €, cote 900 €. Si le coupon est fixe à 4%, le détenteur recevra un coupon de 40 euros (1000 * 4%), chaque année, jusqu'à l'échéance. Pour 900 euros investis, le détenteur recevra 40 euros chaque année.
Supposons que la note de l'émetteur s'améliore et qu'elle est maintenant cotée à 95%. Le taux d'intérêt reste fixe à 4%. Pour 995 euros investis, le détenteur recevra toujours 40 euros chaque année, jusqu'à l'échéance. Par contre s'il pourra vendre l'obligation avant l'échéance à 995 euros. Il réalisera un gain de 5 euros.
Les risques
La hausse du taux d’intérêt : elle entraîne systématique une baisse de la valeur des obligations. Il est donc déconseillé de vendre ses obligations en période de hausse du taux d’intérêt.
L’inflation : si l'inflation excède le rendement des obligations à taux fixe, les détenteurs de ces dernières ne font pas de gain. L'inflation est la perte du pouvoir d'achat de la monnaie se traduisant par une augmentation générale et durable des prix. La même somme ou le même salaire, ne permet plus d'acheter autant de choses que l'année précédente.
L’insolvabilité ou la faillite de l’émetteur : si l’émetteur se retrouve dans l’impossibilité d’honorer les intérêts et le remboursement du capital, le détenteur est complètement perdant. Il en est de même pour les détenteurs d'actions.
Une baisse de l’ensemble marché obligataire: les obligations perdent de la valeur. Les détenteurs peuvent être amenés à vendre à perte.
** Assiari = Bonjour en ngumba (Cameroun)
** Kutshi = Bonjour en tshokwe (Congo RDC)
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